Fondée en 1902 aux Olmes, petit village du Puy-de-Dôme, par Blaise Dozorme, dit Le Loup (surnom devenu son emblème), la marque Claude Dozorme est restée une entreprise familiale respectueuse des traditions séculaire de la coutellerie, qui font la réputation internationale de la ville de Thiers où elle s’est installée, au cœur des volcans d’Auvergne. La société forme ainsi régulièrement ses employés aux techniques de fabrication du couteau aussi bien ancestrales qu’avant-gardistes, du polissage à la main jusqu’à la découpe au laser.
Dirigée depuis 2001 par Claudine Dorzorme, arrière-petite-fille du fondateur et l’entreprise est devenue à la fois une marque reconnue des filières spécialisées de distribution et une signature prisée des amateurs de couteaux de caractère. Revendiquant son anti-conformisme, elle l’affirme au travers d’un parti pris qui modèle ses collections riches de créations pures et de réinterprétations de modèles classiques, innovantes du point de vue technique, dotées de lignes épurées (Liner lock), excentrique
s et ludiques (Berlingot), voire tout simplement uniques (Haute Cuisine). Depuis son arrivée à la tête de l’entreprise auvergnate, Claudine Dozorme a eu pour principe de souffler un vent de changement féminin dans le monde très masculin du couteau, tant dans l’imaginaire véhiculé par cet article que la nature même de ses utilisateurs ou que dans le cénacle des patrons d’entreprise du secteur. Un pari qui s’est révélé gagnant à la hauteur de son audace et qui s’est traduit une fantaisie distinctive au travers de lignes arrondies et de couleurs gaies, développant un marché nouveau de consommatrices. Au total, ce sont quelque 800 références actives(commandées régulièrement) pour tous les goûts et tous les usages dans la cuisine, ainsi que pour les loisirs (couteaux de poche) et le marché du cadeau lié à la gastronomie française avec des modèles pour fromages, foie gras et champagne (pour le sabrer). Ces articles sont disponibles dans les boutiques spécialisées indépendantes ou en groupement (C Comme Cuisine), et dans les chaînes de grands magasins (type Printemps ou Bon Marché). Les ventes sur Internet se développent aussi depuis 3 ans.
s et ludiques (Berlingot), voire tout simplement uniques (Haute Cuisine). Depuis son arrivée à la tête de l’entreprise auvergnate, Claudine Dozorme a eu pour principe de souffler un vent de changement féminin dans le monde très masculin du couteau, tant dans l’imaginaire véhiculé par cet article que la nature même de ses utilisateurs ou que dans le cénacle des patrons d’entreprise du secteur. Un pari qui s’est révélé gagnant à la hauteur de son audace et qui s’est traduit une fantaisie distinctive au travers de lignes arrondies et de couleurs gaies, développant un marché nouveau de consommatrices. Au total, ce sont quelque 800 références actives(commandées régulièrement) pour tous les goûts et tous les usages dans la cuisine, ainsi que pour les loisirs (couteaux de poche) et le marché du cadeau lié à la gastronomie française avec des modèles pour fromages, foie gras et champagne (pour le sabrer). Ces articles sont disponibles dans les boutiques spécialisées indépendantes ou en groupement (C Comme Cuisine), et dans les chaînes de grands magasins (type Printemps ou Bon Marché). Les ventes sur Internet se développent aussi depuis 3 ans.La société transforme 10 tonnes d’inox pour fabriquer 175 000 couteaux par an. Employant 17 salariés, elle réalise 2 millions d’euros de c.a, dont un tiers à l’export, principalement en Europe et aux Etats-Unis. 2010 sera marquée par le lancement en séries limitées packaging cadeau de la gamme 1902 pour les fêtes de fin d’année. A découvrir à Maison & Objet de septembre et sur notre Sélection des sites partenaires.
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