Quand Le Parisien vante les mérites des cuisinistes

Actualités - 17 janv. 2023

Pas l’habitant de la capitale, mais le journal qui a mené enquête pour comprendre le désir vif de recrutement des enseignes de cuisines équipées, et leur a demandé leur niveau de rémunération et les compétences requises. Morceaux choisis.

Voici les points forts et phrases clés de cet article paru le mois dernier :

« Actuellement notre branche recherche quelque 4 000 concepteurs-vendeurs, selon  Christian Sarrot, secrétaire général du Snec.

Les rémunérations sont plutôt attractives dans ce milieu avec un salaire net mensuel de 2000 euros pour un débutant, de 2 500 pour un concepteur déjà un peu aguerri et cela peut même grimper jusqu’à 3 500 ou 4 500 euros net par mois pour les meilleurs de la profession (fixe et variable).    

Concepteur-vendeur est un métier très complet. Il faut savoir accueillir le client car on vend un vrai projet. On doit comprendre son mode de vie, son quotidien, identifier ses besoins. Bref, il faut être curieux et aussi vigilant sur des handicaps par exemple, souligne Claire Naizin, responsable du développement des talents chez But.

En plus, il y a aussi tout l’aspect technique, avec la conception de l’intérieur en 3D, le design, les zones froide, chaude ou de lavage. Ce métier est vraiment très proche de celui d’architecte d’intérieur.

Le cuisiniste est donc un expert dans de multiples domaines mais cette profession reste méconnue. À tel point que les enseignes recherchent des candidats en externe mais aussi en interne.

En marge des formations que proposent tous les grands noms, des écoles spécialisées sont aussi à la disposition des candidats au métier de concepteur-vendeur de cuisine. Il en existe un peu partout dans l’Hexagone.

Selon Roberto Drapron, coordinateur pédagogique à La Fabrique et ex-cuisiniste et gérant de magasin lui-même, les profils sont très différents mais ils ont, pour la majorité un point commun : ils sont en reconversion. « Nous avons des étudiants de 21 ans mais aussi des personnes qui en ont 50. Toutefois, les personnes qui sortent d’école et nous rejoignent, c’est assez rare. Malgré tout, nous voyons de plus en plus de jeunes de 24, 25, 26 ans qui décident de changer radicalement de voie. Je pense notamment à quatre étudiants en Staps (éducation physique) qui sont devenus cuisinistes. »

Laurence Chrétien, directrice des ressources humaines pour le groupe Schmidt, qui comprend également l’enseigne Cuisinella, est en permanence en plein recrutement. Entre ouvertures de magasins et turn-over naturel, quelque 170 postes sont à saisir.

L’intégralité de l’article est consultable en cliquant sur le lien suivant : Le Parisien : les-cuisinistes toujours plus demandés

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